On aurait Joseph K.
On le plongerait dans un monde qui mêle réalité et fantasme. Toute sa vie s’écroule ou semble s’écrouler sous ses yeux. Son existence tourne au cauchemar et la notion de vérité s’effrite de plus en plus.
Quête solitaire d’un homme cherchant à conquérir sa liberté.
Extrait : La voiture flambe. Personne au volant. Seuls un millier de suicidés se vautrent dans la fange des égouts. Et souffle un vent noir.(…)C’est la vallée de la mort, c’est certain
Nous voulons croire à d’autres possibles, d’autres inventions, une liberté nouvelle. D’où le titre : Nous serons les derniers… à vivre ainsi.
Un spectacle de Fabrice Henry